Mon poids beaucoup moins…
Mon poids pourrait être mon ami s’il se contentait de rester statique…
Mais le stress, la maladie, les contrariétés en tous genre ont toujours résonné dans mon estomac, et influencés ma faim, donc mon poids.
Certes j’ai une vision de mon corps qui est toute personnelle, plus les gens le kiffent et moins je les trouve crédibles, mais je m’adapte… Je me doute bien que celui qui m’aime me verra parfaite, la preuve : dans l’autre sens ça marche.
Mon corps me plaît… vite fait… comme ça… parce qu’il le faut. Mais il y a des limites à ne pas dépasser, en trop bien sûr mais aussi en pas assez !
Mon poids dit « de forme » est le poids où je me sens bien, où je peux bouger, monter les escaliers sans souffler comme une vache asthmatique, où mes articulations ne me donnent pas l’air de plier sous ma grosse carcasse. C’est mon poids où je sais que tout est à peu près harmonieusement réparti, mon cul ne prendra pas toute la place et laissera un peu les seins s’affirmer (certes discrets, mais jolis dixit plein de monde -ouais, je montre mes seins à tout bout de champ-), mes cuisses ne viendront pas s’affaisser en gros tas informe dès que je m’assois et mon soutif ne me saucissonnera pas les épaules façon rôti de porc…
Je suis exigeante sur mon poids de forme, oui il est plus bas que la moyenne, non il ne rentre pas dans les petits disques de rapport poids-taille que me sortent les médecins, mais je me sens bien entre 55Kg et 57Kg. C’est comme ça ! Je suis naturellement mince, c’est comme ça !
Au début de l’année 2013, je faisais 15Kg de plus qu’aujourd’hui. C’était la faute à Implanon ! J’ai commencé l’année en me détestant, en ne comprenant radicalement pas comment ex-Chérichéri arrivait encore à me désirer. C’était pas mon corps, c’était plus moi, j’avais toutes les peines du monde à porter ce poids (au sens propre comme au sens figuré).
La dépression et l’arrêt des hormones de synthèse à la con m’ont doucement permis de redescendre. J’ai fait du sport, je me suis bien affamée aussi, faut le dire… Mais j’étais tellement mal que de toutes façons les nausées m’accompagnaient quotidiennement !
Aujourd’hui c’est vrai que je ne mange plus…Ce n’est pas un choix, je ne veux pas maigrir…
Mais c’est juste que j’ai été angoissée, par mon état de santé, par le boulot, par ce mec d’hier, par cette fin d’année qui me rappelle que y’a 1 an j’avais tout pour être heureuse et que je n’y arrivais pas et qu’aujourd’hui j’ai plus rien et que du coup ça va être encore plus difficile d’y arriver !
Alors j’ai du mal à manger… A mettre du carburant pour continuer… Mais je n’y peux rien pour le moment, et j’aimerai bien pouvoir tout avaler…
Mais ça reviendra, et en attendant : Non, je ne suis pas maigre, je n’ai juste plus de forces…
Pt’être après tout que même mon rapport au corps est « too much »… Mais si c’est un « too much » « de forme » alors ça me convient quand même…
Je pense que cela reviendra avec les fêtes de fin d’année, je te le souhaite en tout cas.
Pour retrouver l’apétit, rien de mieux que de se mijoter (ou mieux se faire mijoter) un bon petit plat que l’on adore et qui nous rappelle de bon souvenir. Je salive déjà en imaginant les repas interminables arrosés de bon vin ;-)
(certes, je ne suis pas spécialement fan de Noël… mais un très bon repas… sans déconner… ça vous décolle un geek du PC !!!)
mwoui, demain je cuisine pour samedi en plus : poularde au champagne et cupcakes chocolat amer orange…
De mon côté 55kgs, 1m65, et je m’accepte un jour sur deux…mais pour d’autres raisons :-/ vais en faire un article tiens ^^
Je t’inspire ???? C’est cool :))
1m70 quelle chance.
Je me retrouve un peu à travers ton article qu’on m’a fait tourner.
Étant petite je dois faire attention.
En fait c’est sûr qu’on doit trouver le bon rapport Taille/poids :)