Mes lectures d’avril 2018


Ma vie d'écrivain / dimanche, septembre 23rd, 2018

En avril, j’avais une classe de découverte, donc une semaine loin de chez moi. J’avais aussi des vacances durant lesquelles je me suis foulé la cheville…
Et puis j’avais l’illusion d’entretenir une relation affective avec un membre du sexe opposé aussi (ouais ouais juste une illusion…)(ouh ouh ouh ouh ahaah)
Du coup j’ai pas beaucoup lu !

Au programme ce mois-ci : Du chiant, du Cousteau et du beau sentiment.

Cette année encore, je fais le défi : lire 80 livres dans l’année (mon défi Goodreads) pris sur mes piles à lire !

(Je vous mets des petits cœurs pour « noter » mon niveau de plaisir avec ce livre, 5 est le maximum. Même principe pour mon niveau de mécontentement, mais avec des cœurs brisés)

En avril, j’ai lu 4 livres.


Juste avant le bonheur de Agnès Ledig

Cela fait longtemps que Julie ne croit plus aux contes de fées. Caissière dans un supermarché, elle élève seule sont petit Lulu, unique rayon de soleil d’une vie difficile. Pourtant, un jour particulièrement sombre, le destin va lui sourire. Ému par leur situation, un homme les invite dans sa maison du bord de mer, en Bretagne. Tant de générosité après des années de galère : Julie reste méfiante, elle n’a pas l’habitude. Mais pour Lulu, pour voir la mer et faire des châteaux de sable, elle pourrait bien saisir cette main qui se tend…

Résumé par Babelio

Mon avis :

Je m’attendais à un roman de gare, réconfortant et positif, qu’on peut lire en une journée pour oublier la pluie ou sa propre vie (c’est ce dont j’avais besoin à ce moment-là).
Le début est ainsi…
Pas la fin !
Ce roman est touchant, même si l’écriture manque parfois de profondeur et de réalité.
J’ai cependant passé de bons moments.



Capitaine de la Calypso de Albert Falco et Yves Paccalet

A 20 ans Albert Falco ne possède qu’une formidable passion de la mer et des rêves d’évasion plein la tête.
A 60 ans il rassemble pour nous dans ce livre ses souvenirs. Simple plongeur, chef de mission et enfin Capitaine de la calypso, bateau mythique de Jacques Yves Cousteau.
Nul n’a exploré autant d’épaves, accompli autant de plongées sous toutes les mers et océans du monde.
Ce livre est passionnant et nous fait découvrir le destin flamboyant d’un homme attachant qui est un de nos plus grands marins modernes.

Résumé par Babelio

Mon avis :

Il s’agit certes d’un témoignage très intéressant sur les expéditions du fameux bateau Cousteau mais l’écriture n’est pas d’une grande qualité et les répétitions des différentes espèces aquatiques finissent par devenir lassantes (surtout si, comme moi, on veut s’appliquer à mettre des images sur les mots et qu’on googlelise toutes les sortes de poissons mentionnées…)

Cependant, on se prend parfois à voyager, à rêver, à vouloir en savoir plus et bien souvent à s’indigner du côté destructeur de l’Homme.

J’ai envie de revoir « Le monde du silence » maintenant, c’est malin :)


Le Diable vit à la campagne de Rachel Johnson

Du très couru Notting Hill où vit tout ce que Londres compte de beautiful people aux beautés intactes du Dorset agricole, il n’y a que deux cents kilomètres. Que les Fleming ont franchis avec armes et bagages après avoir vendu leur maison de Colville Crescent. Mimi et Ralph, Mirabel, Casimir et Posy, leurs enfants, et le chien Calypso se sont installés dans une ferme ancienne : pierres blondes, glycines centenaires, fenêtres à meneaux. Le bonheur dans le pré ? Pas vraiment. Entre la vieille gentry locale et les néoruraux, la guerre fait rage. Les uns ont perdu tout le foin de leurs bottes, les autres affichent fièrement le blé qu’ils ont gagné. Chemins crottés contre pelouses manucurées, parties de chasse traditionnelles contre héliports ultra-sophistiqués, sablés pur beurre contre canapés pur bélouga. Au-delà des haies, il y a finalement autant de coteries et d’intrigues qu’à Notting Hill. Et tout autant de potins. Mimi, fraîchement transplantée, et Rose, sa nouvelle meilleure amie, qui vend à prix d’or ses confitures maison, tiennent la chronique des événements à tour de rôle. Entour-loupe à l’éolienne, bagatelles extraconjugales, scandale aux produits bio, rivalités des clans abondent comme les orties le long des chemins. Dans ce roman follement amusant, on découvre que le retour à la nature est beaucoup mieux en rêve que dans la réalité. Pour cette suite du Diable vit à Notting Hill, Rachel Johnson, en pleine possession de son humour anglais, réussit une nouvelle campagne.

Résumé par Babelio

Mon avis :

Pfiouuuu que c’était chiant !!

J’ai choisi ce livre dans une boîte à livres en le jugeant sur sa couverture que j’ai trouvé mignonne comme tout avec ses dessins naïfs. Erreur !

Un roman sans intérêt sur des potins de bourgeois de la campagne anglaise… Une vitrine d’histoires vaudevillesques sur fond de chasse à courre…
Inutile à souhait !

La Passion selon cinq matous de Martine Pilate

Paresseusement, Tiger fait sa sieste au soleil avant d’aller retrouver ses compères, Doudou la fripouille, le beau Félix, Rapapouègue le sans famille et la belle Calamity, seul élément féminin de cette confrérie. A l’heure de l’apéro, dans ce village du Sud, les cinq chats rejoignent les papés qui n’en finissent pas de refaire le monde, et surtout de commenter les derniers potins du cru. Justement, l’installation d’André, un Parisien vieux garçon qui vient d’acheter une maison vigneronne au pays, attise la curiosité des uns et des autres. Celle des anciens, qui se mettent en tête de lui trouver une femme, celle de Rapapouègue, qui rêve de se faire adopter et de goûter à la vie douce de ses compagnons. L’été s’écoule ainsi au rythme des bavardages d’hommes et de chats. Malika, veuve toujours séduisante et voisine d’André, parviendra-t-elle à émouvoir le cœur endurci de ce dernier ? A moins qu’au jeu de la séduction, Rapapouègue n’emporte la partie ?

Résumé par Babelio

Mon avis :

Comme un recueil de nouvelles avec cependant un fil conducteur commun : la vie d’un village provençal raconté à travers les yeux des chats et des hommes.
La lecture est agréable mais pas passionnante car un peu longue la plupart du temps. Les moments d’émotion ne permettent malheureusement pas de relever la barre.



Petit mois donc et petites lectures aussi, du genre de celles qui ne me laisseront pas de souvenir impérissable…

Et vous, qu’avez-vous lu dernièrement ?

2 réponses à « Mes lectures d’avril 2018 »

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