Avec mon tour de France des boites à livres (que j’ai continué cette année mais avec une autre technique de référencement dont je vous parlerai), je n’avais pas d’autres choix que de m’immerger un peu plus encore dans mes envies de lecture. Et ça tombait plutôt bien pour mon défi de l’année dans lequel j’accuse un peu de retard.
L’idée est simple : lire 80 livres dans l’année (mon défi Goodreads) mais classés par catégories (mon nouveau défi).
Voici le moment (très en retard mais mieux vaut tard… bla bla bla) où je vous parle de mes lectures de juillet.
(Je vous mets des petits cœurs pour « noter » mon niveau de plaisir avec ce livre, 5 est le maximum. Même principe pour mon niveau de mécontentement, mais avec des cœurs brisés)
Eh bien en juillet, j’ai lu 10 livres.
Wonder de RJ Palacio
Validant la catégorie 50 (Un livre dont le film sort en 2017)
Ne jugez pas
un livre [mot raturé et changé en Garçon]
sur sa couverture [de même, changé en son apparence]« Je m’appelle August. Je ne me décrirai pas. Quoi que vous imaginiez, c’est sans doute pire. »
Né avec une malformation faciale, August, dix ans, n’est jamais allé à l’école. Aujourd’hui, pour la première fois, ses parents l’envoient au collège… Pourra-t-il convaincre les élèves qu’il est comme eux ?
Dans la lignée du Bizarre incident du chien pendant la nuit, un petit bijou de sensibilité et de drôlerie. Un roman irrésistible sur le destin peu ordinaire d’August Pullman, un enfant différent. »
Mon avis :
J’ai volontairement commandé ce livre sur PriceM****** afin de coller au défi de cette année.
J’ai beaucoup aimé cette lecture fluide et pertinente. Les personnages sont attachants et les différents narrateurs apportent de la profondeur au récit, une sorte de cohérence très appréciable.
J’ai très envie de bosser sur ce livre avec ma classe cette année, je verrai comment organiser cette éventualité (car parfois le langage utilisé est un peu familier et dans le cadre scolaire je ne suis pas persuadée de son bon accueil)
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Onze minutes de Paulo Coelho
Validant la catégorie 61 (Un livre parmi les incontournables du staff – catégorie que j’ai changé car je ne fais plus partie du groupe. J’ai donc demandé à quelqu’un de choisir pour moi parmi ma PAL et c’est Cécile qui a décidé)
Maria est une toute jeune Brésilienne du Nordeste. Elle, qui n’aspire qu’à l’Aventure, au grand amour, et travaille comme vendeuse dans un magasin de tissus, s’offre une semaine de vacances à Rio de Janeiro. Sur la plage de Copacabana, un Suisse lui propose de devenir danseuse de cabaret à Genève. Elle voit là le début d’un conte de fées, mais la réalité sera tout autre. Maria en vient à se prostituer : sans honte, puisqu’elle apprend à son âme à ne pas se plaindre de ce que fait son corps, et qu’elle s’interdit de tomber amoureuse. Après tout, la prostitution est un métier comme un autre, avec ses règles, ses horaires et ses jours de repos… Mais le sexe — tout comme l’amour — reste pour elle une énigme. C’est alors qu’elle rencontre un jeune peintre qui la trouble, car, s’il est aussi perdu qu’elle, il sait parler le langage de l’âme. Pour découvrir le sens sacré de la sexualité, Maria devra trouver le chemin de la réconciliation avec elle-même.
Paulo Coelho décrit pas à pas l’initiation d’une jeune prostituée, un parcours qui montre les limites de la prétendue libération sexuelle et s’achève par un retour romantique aux valeurs de cœur et de l’esprit. »
Mon avis :
Rien à voir avec l’Alchimiste (et heureusement car j’avais détesté !!) pourtant c’est un livre que j’avais choisi lors de mes passages dans une boîte à livre quelconque…
Cette histoire est très jolie, mais pas niaise. Très pleine d’espoir, mais pas bisounours entourée de chamalows. Elle contient de jolies réflexions sur la vie et de sympa petites apartés philosophiques qui font réfléchir sans plomber l’ensemble.
Ouais, j’ai bien aimé et je le garde afin de le relire plus tard, pour le plaisir !
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Des vacances inoubliables de Kit Reed
Validant la catégorie 18 (Un livre qui parle des personnes âgées)
Vous avez 70 ans, mais à force de régimes, d’exercices et de liftings, vous en faites à peine 30. Venez vous éclater avec des jeunesses de votre genre à Heureux Habitat, le super-club de milliardaires où tout est conçu pour votre bonheur. Vous vous étonnez que vos enfants aient fait ce sacrifice financier pour une mère qu’ils semblaient haïr ? Vous ne comprenez pas très bien la raison d’être de ces uniformes noirs qui vous ont facilité l’entrée des lieux mais vous barrent la sortie ? Qu’à cela ne tienne ! Vous finirez peut-être offerte aux lions dans un temps romain, assommées par un homme préhistorique, criblée de balles par les franquistes, mais vous aurez passé des vacances inoubliables ! »
Mon avis :
Un livre voyageur lui aussi, un des très nombreux livres de ma PAL qui viennent des boîtes à livres que je croise sur ma route. J’ai été attirée par sa couverture et par sa collection (« Présence du futur », j’ai toujours bien accroché)
Bon ben en gros, je vais lui accorder un « Mouais »… Les premiers chapitres sont racontés par des personnages narrateurs qui n’ont rien en commun mais qui finissent (forcément) par se croiser pour finalement jouer un rôle déterminant.
L’invention de cette société « parfaite » scénarisée de toutes parts est assez brillante et fait quelque peu réfléchir (comme dans beaucoup de romans SF) mais, après avoir réussi à me faire au rythme et la succession d’aventures, je dois avouer avoir fini ma lecture sans avoir été transcendée…
Retour dans une boîte pour cette ouvrage.
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Le livre du voyage de Bernard Werber
Validant la catégorie 80 (Un livre écrit à la deuxième personne, où l’auteur s’adresse directement à nous)
Imaginez un livre qui serait comme un ami de papier. Imaginez un livre qui vous aide à explorer votre propre esprit. Imaginez un livre qui vous entraîne vers le plus beau, le plus simple et le plus étonnant des voyages. Un voyage dans votre vie. Un voyage dans vos rêves. Un voyage hors du temps. Ce livre vous le tenez entre vos mains.
Quatrième de couverture
Ah, enfin tu me prends dans tes mains!
Ah, enfin tu lis ma quatrième de couverture!
Tu ne peux pas savoir comme j’attendais cet instant.
J’avais si peur que tu passes sans me voir.
J’avais si peur que tu rates cette expérience que nous ne pouvons vivre qu’ensemble.
Toi lecteur, humain, vivant.
Et moi le livre, objet, inerte, mais qui peut te faire décoller pour le grand, le plus simple, le plus extraordinaire des voyages. »
Mon avis :
Ramassé dans une boîte, alors que je l’avais déjà lu auparavant, je me suis rendue compte assez tardivement que ce livre pourrait convenir à cette rubrique pour laquelle je n’avais aucune idée de bouquin au départ.
J’avais pas forcément envie de le prendre car j’avais déjà expérimenté sa lecture il y a quelques années et qu’il ne m’avait pas plu DU TOUT ! (j’étais jeune et je pense que je m’attendais à quelque chose de beaucoup plus « spectaculaire » -oui, j’étais naïve étant jeune aussi- )
Eh bien cette relecture m’a un peu plus touchée. Probablement parce que les questions abordées par cet ouvrage me parlent beaucoup plus aujourd’hui, parce que j’y ai déjà réfléchi avant, par moi-même et que le travail est un peu mieux amorcé dans ma tête. Un peu de réflexion en plus, un peu de conscience supplémentaire ont fait que j’ai plus apprécié ce roman.
Cependant (et voilà la raison de la perte du cinquième cœur), je devrais le relire pour vérifier, mais j’ai parfois trouvé ces lignes vaguement culpabilisantes, voire jugeantes… A suivre !
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La naissance de la télévision selon le Bouddha de Sébastien Doubinsky
Validant la catégorie 1 (Un livre de votre maison d’édition favorite -Actes Sud-)
L’histoire de Bill, caméraman de télévision qui mourra en direct au combat, celle de Sheryl, sa patronne, journaliste « battante » spécialisée dans l’horreur, la violence et la guerre, celle de Lee qui brusquement accède au succès avec un roman inspiré par un moment de folie télévisuelle, celle de Steve, sergent américain qui finira dans un village indigène, assis tel un Bouddha devant des téléviseurs couverts de fleurs… autant de fragments pour une polyphonie grinçante.
C’est dans ce chaos que Sébastien Doubinsky puise l’énergie poétique sous-tendant ce deuxième roman lyrique et singulier. »
Mon avis :
Mpffff mpffff.
Je l’ai trouvé cet été en boîte à livres. J’ai kiffé le titre (si si), j’ai kiffé la première de couv’, et la quatrième ne m’a pas dérangée, alors j’ai plongé.
Et puis bon, finalement j’ai trouvé cette lecture un peu chiante. Il y a certes des idées, il y a certes de beaux mots et l’histoire a certes des ficelles plus qu’intéressantes mais le tout reste néanmoins assez touffu, assez confus, assez dissolu… Dommage parfois.
Il a fait quelques centaines de kilomètres puis est retourné en boite à livres :)
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Les aventuriers d’Irial Tome 1 Monsieur Lune de Tarek, Aurélien Morinière
Validant la catégorie 64 (Un livre qui se passe sur une autre planète)
Laissez-vous guider au cour d’une surprenante histoire par Irial, une charmante héroïne. Tous les soirs, un drôle de petit homme peint la Lune en noir pour la dissimuler aux regards indiscrets des homes. Pendant ce temps, dans la forêt, le Chaperon Rouge cherche désespérément un vétérinaire pour son loup, Rufus, victime d’une mauvaise indigestion. Un petit rat jovial ramasse des glands pour l’hiver. Et une petite fille répondant au nom d’Irial est à la recherche de son petit frère. Mais c’est un mystérieux professeur, un dénommé Stachmou, qui visiblement l’attend.«
Mon avis :
Non non non, c’est pas parce que c’est une BD que c’est triché, je ne suis pas d’accord :)
Bref j’ai trouvé cet ouvrage dans une boîte à proximité d’un super camping où j’ai atterri par hasard et je l’ai dévorée dans la soirée.
L’histoire est sympa, le dessin aussi, cependant beaucoup de pistes sont explorées en vain, beaucoup de portes sont ouvertes en vain… J’espère que le second volume saura reprendre le flambeau de l’histoire là où elle en était. J’en suis presque curieuse.
Pof, remise dans la même boîte !
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Tous les noms de José Saramago
Validant la catégorie 73 (Un prix Nobel de littérature)
Dans l’administration kafkaïenne de l’état civil, les vivants comme les morts sont des fiches archivées. Employés sans visages, tâches absurdes et répétitives, hiérarchie toute puissante qui brime l’individu, tout participe d’un univers concentrationnaire et déshumanisant, brillamment transcrit par l’auteur portugais qui excelle dans l’art de mêler la réalité à l’invraisemblable.
Dans ce monde où l’identité n’a plus de sens, seul M. José, homme sans âge et sans envergure, dont la servilité inspire le mépris, porte un nom. Mais bientôt, alors qu’il évolue en ce lieu placé hors du temps et du cours de la vie, M. José tisse, en secret et presque à son insu, les liens qui le mèneront vers l’extérieur. Sa collection de fiches de renseignements le conduit à s’intéresser à une parfaite inconnue, et peu à peu, à travers cette quête obsessionnelle, M. José part à la découverte de sa propre identité.José Saramago, qui reçut en 1998 le prix Nobel de littérature pour l’ensemble de son œuvre, nous livre un véritable tour de force en matière de jeux de miroir, d’illusions et de métaphores – notamment celle du temps qu’il file en expert dans « Tous les noms, » sans conteste l’un de ses romans les plus brillants. – Lenaïc Gravis & Jocelyn Blériot »
Mon avis :
Je pense avoir trouvé ce roman au troc alors que je cherchais quelque chose qui pourrait convenir à cette catégorie. Je suis très heureuse d’être tombé sur celui-ci.
C’est un très beau roman, une histoire prenante et sublimée par une plume des plus virtuoses. La quête de Monsieur José m’a réellement entrainée et j’ai été presque captivée par les péripéties tout au long de ma lecture.
Sans ne rien dévoiler, j’avoue tout de même avoir été très déçue par la toute fin (et voilà pourquoi j’enlève un cœur) mais une chose est sûre, si vous n’avez pas lu ce livre, il vous le faut !
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Belle et Bête de Marcela Iacub
Validant la catégorie 67 (Un livre qui a suscité une polémique lors de sa parution)
« Tu étais vieux, tu étais gros, tu étais petit et tu étais moche. Tu étais machiste, tu étais vulgaire, tu étais insensible et tu étais mesquin. Tu étais égoïste, tu étais brutal et tu n avais aucune culture. Et j ai été folle de toi. Non pas qu il y ait un rapport de cause à effet entre tes défauts et les sentiments océaniques que j ai éprouvés. C est une curieuse coïncidence. Même au temps où ma passion était si fastueuse que j aurais échangé mon avenir contre une heure dans tes bras je n ai jamais cessé de te voir tel que tu étais : un porc. C est ma compassion pour ces animaux si dénigrés qui a éveillé mon intérêt pour toi. Tu étais le grand persécuté, le bouc émissaire. Je me suis sentie obligée de prendre ta défense pour dire : Les porcs ont le droit d être des porcs. Une société qui met ces créatures en prison aux seuls motifs qu ils ont des goûts propres à leur espèce n est pas une société libre et juste. » »
Mon avis :
j’ai trouvé ce livre dans une boîte cet été et je me suis faite avoir.
J’me suis faite avoir par le titre que j’ai trouvé sympa, la couverture que j’ai trouvé marrante et même la quatrième de couv’ qui a suscité ma curiosité… Quand je vous disais que je vivais dans une grotte et que je n’avais aucune idée que ce livre avait fait couler plein d’encre à sa parution, qu’il avait même été l’objet d’une décision de justice afin qu’un encart soit inséré dans chaque exemplaire avant la diffusion de l’ouvrage, mentionnant que le livre, Belle et Bête, porte atteinte à la vie privée de l’ancien patron du FMI, Dominique Strauss-Kahn.
Mpppppfffff, si j’l’avais su, j’l’aurais pas lu. M’enfin je l’avais, j’avais commencé à le lire, il collait bien à la fameuse rubrique 67 (ça m’évitera de lire Trierweiler pour la peine).
Bref c’est un terrible livre.Peu d’intérêt, pas de style, pas d’élégance… Les vengeances haineuses d’une femme malheureuse…
On peut s’en passer !
L’enfant plume de Janine Teisson
Validant la catégorie 22 (Un livre dans lequel il pleut)
» Elle a pris un ciseau, elle a fait sauter des copeaux de sa chair Puis, avec une gouge elle a raclé ce qui restait, épointé les coudes, décharné les doigts, dégagé les clavicules. Elle a fait d’elle un Giacometti qui s’élance et marche sans répit pour ne pas tomber. » Quinze ans, trente et un kilos. Elle ne veut plus manger. Elle est devenue anorexique. Il y a mille façons de faire du mal à ceux qui vous aiment, et elle a choisi la meilleure. Cible privilégiée d’une révolte adolescente, témoin impuissant de ce lent, mais inexorable renoncement, sa mère tire de cette aventure un magnifique chef d’oeuvre de tendresse, de compréhension et d’amour. »
Mon avis :
Des bouquins sur l’anorexie, j’en ai lus… Et pour cause !
Alors le point de vue des malades, les histoires romancées, les récits hospitaliers… etc… Je m’en suis tapée des dizaines et des dizaines, et ils m’ont toujours remués…
Sauf que là c’est la maman qui parle…. Une vraie maman qui parle de sa vraie fille, avec de vrais mots et des sentiments tous tranchants… Pfiou, c’est difficile à lire, difficile à appréhender aussi…
C’était poignant et émouvant, et pudique aussi…
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Clés pour lâcher prise de Guy Finley
Validant la catégorie 25 (Un livre emprunté à la bibliothèque ou à un proche)
…Guy Finley vous invite à le suivre dans un cheminement intérieur afin de vivre une relation plus claire et plus harmonieuse avec vous-même et ceux qui vous entourent….
….Voici les clés pour vous imposer : n’attendez plus pour les saisir et transformer votre vie ! »
Mon avis :
J’ai emprunté ce livre à mon centre de Yoga (y’en a pleiiiiiiin des super bouquins là-bas, pourquoi a-t-il fallu que je choisisse celui-ci ?)
J’ai mis trois longs mois pour le lire, et à chaque fois que je l’ouvrais, je me forçais ! Cette lecture a donc été très compliquée. Trop d’informations peu concrètes, trop de paroles vagues sur une prétendue façon d’être que j’ai été, dès la première page ou presque, persuadée de ne jamais pouvoir atteindre.
Certes il y a eu des conseils pertinents, mais globalement le chemin décrit est trop théorique et difficilement applicable dans la vie réelle.
J’avais déjà lu un livre de cet auteur (je m’en suis rendue compte après en vérifiant mon compte Goodreads), et je n’avais pas aimé non plus, il est trop compliqué pour moi cet auteur, faut que je le note une bonne fois pour toutes !
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les vacances ont donc aidé, les boîtes à livres aussi, je suis assez contente de ma performance de juillet qui, malgré quelques accidents de parcours, a été un plutôt bon mois parsemé de lectures agréables.
Dès la semaine prochaine je vous raconte mon mois d’août ;)
Et vous, qu’avez-vous lu cet été ?
j’ai beaucoup lu aussi cet été… d’ailleurs je suis aussi en retard dans ma rubrique fiche de lecture…
j’ai repéré quelques livres dont tu nous parles qui pourraient m’intéresser! Merci, j’aime bien ce genre de rubrique de partage lecture!
Mais je t’en prie… J’me suis mise à Babelio en plus de Goodreads, et la communauté y est très active (et française, ce qui est un plus non négligeable), hâte de voir ce que cette nouvelle plateforme peut m’apporter
J’ai beaucoup lu également : des polars scandinaves, un bouquin sur le reiki (en cours), Ta 2e vie commence quand tu te rends compte que tu n’en as qu’une (gnangnan à mon avis), un bouquin sur la permaculture aussi… Bisous
Ah voilà ! Moi j’ai pas dit gnangnan mais plutôt simpliste. C’est vulgarisé et romancé pour les néophytes… Et je pense que la clé de son succès est là finalement : caresser une fibre dans le vent chez des lecteurs néo-en-conscience. (Ce n’est pas une critique)
Ça fait pas mal de lectures même si toutes n’étaient pas excellentes ! De mon côté c’était plus lent, Autant en emporte le vent m’a occupée pendant un bail. J’ai essayé Hemingway et bien aimé, et là je suis sur du Stephen King :)
Hemingway je ne l’ai jamais lu, j’ai un peu d’à priori, mais il faudra tout de même que j’essaye.
Lequel de King ?
Oui, on peut toujours avoir des surprises ! Le mien, c’était Le soleil se lève aussi.
Rose Madder !
Alors je le note :)